C’est une soirée que je n’avais pas du tout vue venir. Le matin même, je ne connaissais pas Fletcher. Puis une amie m’a appelée un peu sur un coup de tête: « J’ai une place en trop, tu viens? » J’ai dit oui sans trop réfléchir… et je ne l’ai pas regretté une seconde. Le soir même, je découvrais l’artiste en live, en ayant tout de même passée la journée à écouter ces musiques pour me mettre dans l’ambiance. Et c’était une claque. Une vraie. L’énergie, la sincérité, la voix, la proximité avec le public: tout m’a embarquée. Il y a quelque chose de magique à tomber amoureuse d’une musique en la vivant pour la toute première fois en concert. C’est exactement ce qui s’est passé ce soir-là. Fletcher est passée de « qui? » à « waouh » en une heure, et ça restera une de mes plus belles surprises musicales.

Il n’y a rien qui remplace l’émotion d’être tout devant, à quelques mètres à peine de son artiste préféré. Ce sentiment d’être au plus porche de la scène, de croiser des regards, de ressentir chaque vibration de la musique… c’est indescriptible. Cette 4ème place, je la réserve à tous ces concerts où j’ai eu la chance d’être tout devant, que ce soit grâce à des heures de file d’attente ou simplement à un petit coup de chance. Ces souvenirs ont tous un point commun: l’intensité. On oublie la fatigue, le stress, l’attente – à ce moment-là, il ne reste que la magie. Ce sont des des souvenirs forts, marquants, qui donnent encore plus de valeur à chaque concert vécu.

J’ai découvert Only The Poets un peu par hasard, il y a quatre ans, lorsqu’ils ont été annoncés comme première partie de Louis Tomlinson. Je ne les connaissais pas du tout. Dès les premières notes, je suis tombée amoureuse. De leur musique, de leurs messages, de leur énergie. Leur manière d’aborder des sujets sensibles comme la santé mentale, avec sincérité et bienveillance, m’a profondément touchée. Depuis, j’ai eu la chance d’assister à une dizaine de leurs concerts. À chaque fois, c’est un moment à part. Ce qui rend l’expérience encore plus spéciale, c’est le lien qu’ils entretiennent avec leur communauté. Ils créent sans cesse du contenu pour leurs fans. Ils organisent même des concours pour gagner des sessions Zoom avec eux. De plus, ils offrent régulièrement des billets à ceux qui n’ont pas les moyen. Le groupe a aussi pris le temps d’appeler quelques fans pour les remercier d’avoir téléchargés leur EP. Leur générosité et leur attention rendent chaque rencontre inoubliable.

L’un des souvenirs le plus marquant que je garde du Eras Tour n’est pas directement lié à la scène, mais à ce qu’il se passe avant que les lumières ne s’éteignent. La tradition d’échanger des friendship bracelets entre fans crée une ambiance unique, faite de bienveillance, d’excitation et de partage. Ce jour-là. j’étais venue avec une centaine de bracelets que j’avais pris le temps de faire avec soin. Et pendant des heures, j’ai discuté, ri et échangé avec des personnes adorables. On était tous réunis par le même amour pour Taylor Swift. C’est fou comme un simple fil de perles peut créer un lien immédiat entre deux inconnus. Ces moments d’échange, simples mais sincères, ont transformé l’attente en un souvenir à part entière. Le concert était incroyable, mais cette énergie collective, cette générosité entre fans, c’est ce qui m’a le plus marquée.

Il n’y a rien qui remplace l’émotion d’être tout devant, à quelques mètres à peine de son artiste préféré. Ce sentiment d’être au plus porche de la scène, de croiser des regards, de ressentir chaque vibration de la musique… c’est indescriptible. Cette 4ème place, je la réserve à tous ces concerts où j’ai eu la chance d’être tout devant, que ce soit grâce à des heures de file d’attente ou simplement à un petit coup de chance. Ces souvenirs ont tous un point commun: l’intensité. On oublie la fatigue, le stress, l’attente – à ce moment-là, il ne reste que la magie. Ce sont des des souvenirs forts, marquants, qui donnent encore plus de valeur à chaque concert vécu.

L’un des souvenirs le plus marquant que je garde du Eras Tour n’est pas directement lié à la scène, mais à ce qu’il se passe avant que les lumières ne s’éteignent. La tradition d’échanger des friendship bracelets entre fans crée une ambiance unique, faite de bienveillance, d’excitation et de partage. Ce jour-là. j’étais venue avec une centaine de bracelets que j’avais pris le temps de faire avec soin. Et pendant des heures, j’ai discuté, ri et échangé avec des personnes adorables. On était tous réunis par le même amour pour Taylor Swift. C’est fou comme un simple fil de perles peut créer un lien immédiat entre deux inconnus. Ces moments d’échange, simples mais sincères, ont transformé l’attente en un souvenir à part entière. Le concert était incroyable, mais cette énergie collective, cette générosité entre fans, c’est ce qui m’a le plus marquée.

Lors de l’un des concerts, j’ai eu la chance d’être tout près de la scène – et c’est comme si le monde s’était arrêté. Ce sentiment de vivre un moment unique, à la fois immense et profondément personnel, je ne l’ai retrouvé nulle part ailleurs. Love On Tour, c’était bien plus qu’un concert. C’était un refuge, une célébration de soi, et pour moi, certains des plus beaux souvenirs de toute ma vie.

Parmi les concerts que j’ai le plus aimés dans ma vie, le Love On Tour de Harry Styles tient clairement une place à part. Mais même au milieu des paillettes et de l’euphorie, certaines scènes peuvent surprendre. À Lisbonne, alors que tout le monde dansait, chantait et partageait un moment suspendu, deux fans d’une trentaines d’années chacun, ont soudain commencé à se disputer… avant d’en venir aux mains. Cris, bousculades, jets de bières: en plein milieu du show, l’altercation n’a duré qu’une chanson, mais elle a suffi à casser un instant l’ambiance si bienveillante que cette tournée incarne. Rien de dramatique, heureusement, mais un petit goût amer dans une soirée qui, à part ça, frôlait la perfection.

L’un des plus beaux aspects des concerts, c’est l’énergie collective, cette sensation d’être porté.e par une foule qui vibre à l’unisson. Mais parfois… silence radio. Il m’est arrivé d’assister à des shows où l’ambiance dans la salle était tout simplement inexistante: pas un chant, pas une danse, juste des visages passifs face à des artistes pourtant pleins d’énergie. Je pense notamment au concert de M. Pokora, à celui de la Star Academy, ou encore au dernier show de Only The Poets à Zurich, où j’avais l’impression d’être l’une des seules à vraiment vire le moment. Ce genre d’atmosphère peut franchement casser la magie du live – non pas à cause des artistes qui se donnent à fond, mais parce qu’on se retrouve un peu seul.e à partager l’émotion. Et ça, c’est tristement frustrant.

À l’opposé total des foules amorphes, il y a celles… un peu trop survoltées. C’était le cas lors du concert de Lomepal (avant qu’il soit cancel) où, dès les premières notes, la fosse est devenue difficile à gérer. Ça poussait dans tous les sens, au point que j’ai dû plusieurs fois m’agripper à la barrière pour rester debout. J’ai quand même réussi à profiter de certains moments, à chanter et à me laisser porter par quelques titres. Mais l’intensité de la foule m’a souvent sortie de l’instant. Au lieu d’être pleinement dans le concert, je me retrouvais à rester en alerte, à essayer de me protéger et à chercher de l’air. Une atmosphère un peu trop agité qui a malheureusement, entamé le plaisir d’un show que j’aurais aimé vivre plus sereinement.

Ce concert de Lomepal restera gravé dans ma mémoire… mais pas pour les raisons espérées. La prestation de l’artiste n’est pas ce qui m’a marquée, mais bien ce qui s’est passé avant même qu’il ne puisse monter sur scène. Ce soir-là, après avoir fait le déplacement et attendu longuement dans la salle, on nous annonce soudainement que le concert est annulé. Pire encore: une alerte à la bombe est en cours, et nous devons évacuer immédiatement. Sur le moment, l’incompréhension et la peur prennent le dessus. L’idée que quelqu’un de potentiellement dangereux puisse se trouver parmi nous glace le sang. Heureusement, ce n’était qu’une fausse alerte… mais l’ambiance est retombée comme un soufflé, et la déception s’est vite installée. Même si le concert a pu être reprogrammé plus tard (et j’en parle juste avant), difficile d’oublier ce moment pour le moins inattendu.

Comme t’as pu le lire plus haut, j’aime énormément Only The Poets, et chaque concert d’eux est normalement un moment suspendu que je savoure du début à la fin. Mais cette fois-là, à Zurich, tout ne s’est pas passé comme prévu. J’étais avec ma maman et on devait absolument prendre le dernier train pour rentrer. Le hic? Le concert a fini trop tard, et on a été forcées de partir avant la fin. C’est la seule fois où j’ai vécu ça et je ne le souhaite à personne. On a raté la dernière chanson, ce moment d’euphorie collective où tout le monde chante à pleins poumons une dernière fois. Pire encore: pendant tout le concert, j’étais en alerte, l’oeil rivé sur l’horloge, à compter les morceaux restants au lieu de profiter pleinement de l’instant. Une soirée pleine de stress, d’anticipation et de frustration – un souvenir particulièrement amer, d’autant plus que c’était avec un groupe qui me tient autant à coeur.

C’est la seule fois où j’ai dû quitter une salle avant la fin. Même si le concert était magnifique, j’en garde un souvenir flou. L’inquiétude a tout gâché. Quand on aime un groupe aussi fort, ne pas profiter pleinement du moment est du à accepter. Ça laisse un sentiment de frustration difficile à avaler.

L’un des plus beaux aspects des concerts, c’est l’énergie collective, cette sensation d’être porté.e par une foule qui vibre à l’unisson. Mais parfois… silence radio. Il m’est arrivé d’assister à des shows où l’ambiance dans la salle était tout simplement inexistante: pas un chant, pas une danse, juste des visages passifs face à des artistes pourtant pleins d’énergie. Je pense notamment au concert de M. Pokora, à celui de la Star Academy, ou encore au dernier show de Only The Poets à Zurich, où j’avais l’impression d’être l’une des seules à vraiment vire le moment. Ce genre d’atmosphère peut franchement casser la magie du live – non pas à cause des artistes qui se donnent à fond, mais parce qu’on se retrouve un peu seul.e à partager l’émotion. Et ça, c’est tristement frustrant.

Ce concert de Lomepal restera gravé dans ma mémoire… mais pas pour les raisons espérées. La prestation de l’artiste n’est pas ce qui m’a marquée, mais bien ce qui s’est passé avant même qu’il ne puisse monter sur scène. Ce soir-là, après avoir fait le déplacement et attendu longuement dans la salle, on nous annonce soudainement que le concert est annulé. Pire encore: une alerte à la bombe est en cours, et nous devons évacuer immédiatement. Sur le moment, l’incompréhension et la peur prennent le dessus. L’idée que quelqu’un de potentiellement dangereux puisse se trouver parmi nous glace le sang. Heureusement, ce n’était qu’une fausse alerte… mais l’ambiance est retombée comme un soufflé, et la déception s’est vite installée. Même si le concert a pu être reprogrammé plus tard (et j’en parle juste avant), difficile d’oublier ce moment pour le moins inattendu.

C’est la seule fois où j’ai dû quitter une salle avant la fin. Même si le concert était magnifique, j’en garde un souvenir flou. L’inquiétude a tout gâché. Quand on aime un groupe aussi fort, ne pas profiter pleinement du moment est du à accepter. Ça laisse un sentiment de frustration difficile à avaler.